Publié le 5 juin 2025
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Mis à jour le 5 juin 2025
Date(s)
le 16 juin 2025
14h30
Lieu(x)
Campus Carlone
Salle du Conseil
De #metoo au plan d’action national contre les violences sexuelles et sexistes. Analyse localisée d’un phénomène médiatique transnational
Madame Warda Khemilat soutiendra sa thèse de Doctorat en Sciences de l’information et de la communication intitulée « De #metoo au plan d’action national contre les violences sexuelles et sexistes. Analyse localisée d’un phénomène médiatique transnational », le lundi 16 juin 2025 à 14h30, salle du Conseil du Campus Carlone, Faculté des Sciences Humaines, Arts et Lettres.
- Elizabeth Gardère, Professeure des Universités en Sciences de l’information et de la communication à l’Université Bordeaux-Montaigne (examinatrice)
- Sophie Jacquot, Professeure des Universités en Science Politique à l’Université Saint-Louis-Bruxelles (examinatrice)
- Aurélie Olivesi, Maîtresse de Conférences HDR en Sciences de l’information et de la communication à l’Université Lyon 1 (rapporteure)
- Marie-Joseph Bertini, Professeure des Universités en Sciences de l’information et de la communication à l’Université Côte d’Azur (directrice de thèse)
Résumé de la thèse :
Cette thèse en Science de l’Information et de la Communication a pour ambition d’analyser la façon dont les récentes affaires concernant les violences faites aux femmes ont fait évoluer les politiques locales et les discours collectifs. Il s’agira ainsi de s’intéresser au cadrage médiatique des récentes mobilisations féministes #metoo et #balancetonporc, ainsi qu’aux applications politiques concrètes qui résultent de ces mouvements sociaux. Ces recherches mettent en lumière les différentes retombées politiques consécutives aux mobilisations féministes sur les réseaux sociaux, à travers l’étude de programmes d’actions nationaux et locaux mis en place dans la ville de Nice et dans le département des Alpes-Maritimes.
Le traitement politique et médiatique d’autres questions d’actualité suscitées par les récentes mobilisations féministes sera également étudié au niveau national et territorial. Dans la sphère publique : harcèlement de rue, harcèlement au travail ; dans la sphère privée : viol conjugal, violences domestiques, etc. Ce travail de recherche proposera ainsi d’une part, de répertorier et d’analyser les mobilisations féministes et les réseaux d’acteurs impliqués dans ces polémiques publiques mobilisées par les médias et les personnalités politiques et d’autre part, d’examiner les impacts régionaux et nationaux suscités par ces affaires et mobilisations. Cette exploration permettra ainsi de comprendre de quelle manière la mise à l’agenda politique et médiatique de l’égalité entre les femmes et les hommes a modifié la perception "de ces nouvelles problématiques sociales".
Sa thèse, dirigée par la Pr Marie-Joseph Bertini, sera soutenue devant le jury suivant :
- Marlène Coulomb-Gully, Professeure des Universités émérite en Sciences de l’information et de la communication à l’Université Toulouse 2 (rapporteure)- Elizabeth Gardère, Professeure des Universités en Sciences de l’information et de la communication à l’Université Bordeaux-Montaigne (examinatrice)
- Sophie Jacquot, Professeure des Universités en Science Politique à l’Université Saint-Louis-Bruxelles (examinatrice)
- Aurélie Olivesi, Maîtresse de Conférences HDR en Sciences de l’information et de la communication à l’Université Lyon 1 (rapporteure)
- Marie-Joseph Bertini, Professeure des Universités en Sciences de l’information et de la communication à l’Université Côte d’Azur (directrice de thèse)
Résumé de la thèse :
Cette thèse en Science de l’Information et de la Communication a pour ambition d’analyser la façon dont les récentes affaires concernant les violences faites aux femmes ont fait évoluer les politiques locales et les discours collectifs. Il s’agira ainsi de s’intéresser au cadrage médiatique des récentes mobilisations féministes #metoo et #balancetonporc, ainsi qu’aux applications politiques concrètes qui résultent de ces mouvements sociaux. Ces recherches mettent en lumière les différentes retombées politiques consécutives aux mobilisations féministes sur les réseaux sociaux, à travers l’étude de programmes d’actions nationaux et locaux mis en place dans la ville de Nice et dans le département des Alpes-Maritimes.
Le traitement politique et médiatique d’autres questions d’actualité suscitées par les récentes mobilisations féministes sera également étudié au niveau national et territorial. Dans la sphère publique : harcèlement de rue, harcèlement au travail ; dans la sphère privée : viol conjugal, violences domestiques, etc. Ce travail de recherche proposera ainsi d’une part, de répertorier et d’analyser les mobilisations féministes et les réseaux d’acteurs impliqués dans ces polémiques publiques mobilisées par les médias et les personnalités politiques et d’autre part, d’examiner les impacts régionaux et nationaux suscités par ces affaires et mobilisations. Cette exploration permettra ainsi de comprendre de quelle manière la mise à l’agenda politique et médiatique de l’égalité entre les femmes et les hommes a modifié la perception "de ces nouvelles problématiques sociales".
